Extension du domaine de la lutte (French Edition) Pocket Book – September 8, 2010

Le film que j'avais vu a la television ne m'avait pas plu sans doute du fait d'une interpretation faineante pensais-je; quelques annees plus tard j'ai voulu me faire une opinion de l'ecrivain et quelle deception. Tout ce bruit sur Houellebecq pour rien. Le style d'ecriture est indigent, d'ailleurs il n'y a aucun style, Houellebecq ecrit comme il parle. La forme est on ne peut plus desuete et sans doute ideal pour des lecteurs qui ne lisent pas ou peu. Ceux et celles qui ont une culture litteraire et une appreciation certaine de la langue Francaise vont vraiment peiner. Ca c'est pour la forme. Le fond est pire encore, il n'y en a aucun. La personnage principal est un perdant. Pas un perdant sympathique, de ceux qui essaient de trouver un sens a leur vie et font preuve d'une certaine extravagance. Non ce personnage la accepte sa condition de molusque, observant ceux et celles qui l'entourent et les jugeant sur des criteres que l'on garderait normalement pour soi tant ils sont ininteressants. Je ne trouve a ce livre aucun equivalent litteraire. Son equivalent se trouve plutot dans le cinema Francais contemporain. Pensez aux Petits Mouchoirs, c'est-a-dire une collection de gens sans substance, nombrilistes, le tout sur fonds de pseudo psycho-sociologie indigente. L'Extension est le recit ennuyeux d'un personnage sans interet, sans empathie, sans present ni avenir. C'est le genre de personnes qui feraient fuir en courant la plupart des bipedes que nous sommes, lui en est au stade de la limace. La collection de ses pensees sur la condition humaine est pre-pubere, jamais approfondit, terriblement ennuyeuse. Bref, Houellebecq est une reelle deception. En ce moment je me fais une collection de classiques Vonnegut, Modiano, Vercors, Queneau, Mishima et ayant eu de tres bons souvenirs de mes cours de philosophie au lycee (avec un prof exceptionnel par son incapacite a suivre le programme de l'Eduction Nationale) je m'apprete a decouvrir Bergson. Et tous ces grands auteurs ont un style d'ecriture qui leur est propre, une reelle maitrise de leur langue maternelle parfois meme avec simplicite et drolerie. Chez Houellebecq, il n'y a rien de tout cela. C'est de la breve de comptoir. Bref c'est une enorme deception etant donne la popularite et le tambourinage mediatique fait autour de cet ecrivain. Je comprends pourquoi il se veut controverse. Et cela en soit est une critique societale lorsque des ecrits aussi plats permettent a leurs auteurs d'atteindre des sommets. Ce type de litterature pourrait aussi bien etre compare a de la pop music; c'est plat, sans saveur, immature, matraque sur toutes les ondes et ca plait aux moutons de panurge. Si la litterature est une lutte pour vous, je vous conseillerai plutot de lire un bon Frederic Dard et sa serie de San Antonio. C'est du roman de gare mais au moins il y a un reel style d'ecriture, un amour du langage dans la pure tradition Rabelaisienne, avec de bons personnages, souvent des perdants attachants (ne le sommes-nous pas tous?) et socialement c'est sans doute une critique plus acide que celle de Houellebecq meme sans s'y preter. Lisez Modiano qui n'est pas dur a lire mais infiniment plus riche dans la forme et le fond. Ses recits sont toujours construits avec une trame et un denouement souvent inattendu qui font appel a la reflection du lecteur. La lecture d'Extension elle me plonge dans le meme etat que son personnage principal: un etat quasi vegetal et resolu. Cet ouvrage est une perte de temps.

The first book I ever read of Houellebecq (in German first, then in French). Outstanding!

Served as a source of inspiration for me to begin writing.... again - merci, Michel!!!!

La vie est atroce, un veritable enfer: il n’y a que des bêtises et des conneries. Puis on meurt. De plus, entre la naissance et la mort l’homme vit dans la stupeur, mais parfois il a envie de se castrer avec une paire de ciseaux.

Michel Houellebecq's debut "Whatever" (EXTENSION DU DOMAINE DE LA LUTTE) may not be as great as his latest works, as "Plataform" and "The Elementary Particles", but it already displays the budding talent of a major writer. This novel is sort of a rehearsal for his next books, since here he starts dealing with themes that are dear to him, like the solitude of the contemporary man and the role that sex plays in one's life.However short "Whatever" is, this book deals with heavy themes. Houellebecq makes everything matter, in his existential journey. In the novel's main idea, the sexual success of a person is related to other factors, such as gender, class and race. Dealing with these material, the writer is not concerned with political-correctness. He wants to tackle the subversive side of the human soul."Whatever" is an interesting introduction to Houellebecq's universe. However worth reading this book is, his later novels "Elementary Particles" and the superb "Platform" is where one can find a writer fully developed.

Je n'aimais pas lire, notamment à cause des livres scolaires puis j'ai acheté au hasard ce livre. J'ai pris une claque, j'ai ensuite dévoré tout Houellebecq et depuis je dévore 2 à 3 livres par semaine .Donc Merci Michel, ce livre est essentiel dans ma vie.

Ayant lu la quasi-totalité des romans de Houellebecq, je m’attaque à ceux, plus anciens, qu’il me reste à lire.Cet écrit, paru en 1994, m’est apparu comme un roman embryonnaire de ce qui sera la suite de son œuvre.Il survole, dans un style poétique étonnant beau, la tristesse, le désespoir et la profonde solitude de l’homme moderne qui se pense épanoui. Il est drôle, cynique et d’un grand réalisme. C’est un angle de vue comme un autre, qui est certainement plus proche de la vérité que tout les autres.Ce qui m’étonne le plus chez Houellebecq et qui me fascine d’ailleurs, c’est cette sorte de méchanceté lucide mêlée à une grande sensibilité de cœur. Son écriture aussi est étonnante. C’est un genre de prose poétique ou de poésie en prose qui me plait beaucoup et qui côtoie avec naturel le langage ridicule de l’ingénieur, de l’entreprise et de toutes ces choses triviales.Il y a quelques mois, Houellebecq s’est élevé avec violence contre le projet de loi en faveur de l’euthanasie. J’avais été assez étonné de son intérêt pour ce type de débat. Quelle n’a pas été ma surprise de trouver dans l’Extention du Domaine de la Lutte une anecdote à ce sujet, ignoble et tout à fait réaliste, qui n’a peut-être pas été inventée.J’aime beaucoup cet auteur qui broie et écrase le convenu et le politiquement correct. Il apporte une véritable bouffée d’oxygène à la pensée moderne moribonde et totalitaire,Un homme avec qui il m’aurait plu de partager une cigarette.

Il s'agit de mon premier roman de cet auteur. Il décrit surtout la société avec un cynisme empreint d'une certaine vérité. Au delà du roman qui met en scène un informaticien, j'ai eu le sentiment de lire un témoignage sur une société occidentale névrosé, hypersexualisée, matérialiste et vide. Loin d'être le genre de livre que je préfère, en fin de lecture l'on en sort différent ce qui n'est pas sans déplaire lorsque l'on lit un livre.ps: la qualité d'impression n'est pas très bonne, les polices de caractères différes pour certains mots.

Sin duda la peor calidad de impresión de la editorial J'AI LU con la que me he topado.Impreso el 11 de diciembre de 2018 por NOVOPRINT, España.Muchísimas líneas de texto deformadas y más grandes que el resto, y en general el texto da la impresión de desvanecerse sobre la página. En algunas páginas, el bloque de texto impreso está incluso torcido en comparación a la posición de los márgenes.No recomiendo para nada esta edicion

Dies ist keine Rezension des Romans, sondern eine Kritik an der im Titel genannten Buchausgabe. Der Drucksatz ist furchtbar: Ständige zeilenweise Wechsel von kleinerer zu größerer Buchstabengröße, außerdem abschnittsweise Wechsel von engerem zu weiterem Zeilenabstand irritieren und stören den Lesefluss erheblich.